Halte là ... qui va là?

Me voila, Sirzack!!

Venu d'Italie mon pays natal...je suis envoyé par mon père pour
retrouver un homme dont je ne sais rien, je ne sais même pas pourquoi
je dois le retrouver.
Mon père ma juste dit...quand tu le verras, tu sauras!!!
Ça ne m'avance pas beaucoup, mais j'ai accepté et j'ai embarqué sur un
bateau, hum, embarqué et un grand mot, je me suis glissé dans la cale.
Qu'elle horreur...mes seuls compagnons était des rats, et mangé cru
c'est compagnon ce n'est pas très appétissant mais après plusieurs
jours en pleine mer et quand on a que ça!!
Voila...après être arrivé sur la terre je décide de m'installer dans un village.


Je suis calme et souvent de bonne humeur
j'aime m'amuser et j'apprécie l'humour.
J'aime me retrouver en soirée avec mes ami(e)s en taverne...

Siralien s'avance lentement et entame un discour:


"De nombreuses personnes vous diront ne pas se souvenir de leur passé.
Ou alors elles s’en souviennent de façon résiduelle et fragmentaire. Il
est évident que le fait de ne pas se souvenir de son passé peut être
perturbant. Cependant au risque d’y découvrir une époque obscure où des
faits innommables se sont produit, leur passé restera pour la plupart
d’entre eux vague et incertain….résiduel et fragmentaire. Vous pouvez y
voir la fatalité, moi j’y vois de la chance. La simple chance de ne pas
se souvenir d’un passé trouble. La chance de pouvoir générer par
l’imaginaire de la matière qui permet de combler des lacunes. Bien
souvent dans ces cas là, l’imaginaire est bienveillant, créant au pire
des souvenirs certes difficiles, mais pas plus que de raison. Après
tout la vie n’est pas simple."

Je vient en paix ne vous brusquez pas surtout...
J'ai été envoyé par Lulue de Chateauroux pour signer un contract d'escorte jusqu'à la région de Toulouse.

Voila merci de me répondre et bonne journée ^^

Siralien acquiesce de la tête et répond à Servais:

Je suis résident de La Rochelle et j'ai déjà entamé mon voyage en direction de Limoges. En ce moment je me trouve dans la ville de Saintes.

Se tourne vers Sirzack et le désigne de la tête.

Oui en effet, Sirzack fera parti du groupe de Lulue qui nous amenera dans la région de Toulouse. Ils me prendront à Limoges et on partira ensuite.

Alix arrive jusqu'au chateau. Poussiéreuse, éreintée. Elle a galopé tout droit jusqu'au domaine pour demander de l'aide. Elle se présente devant la garde

Alix de Beaufort-Montjoie, présentez-moi à votre maître immédiatement, l'affaire est urgente

Flèche de Lune s'arreta à l'entrée du château. Neottie descendit de son cheval et alla pres du gardien.

- Bonjour pouvez-vous annoncer, la Dame de Saint Julien s'il vous plait ?

Puis elle s'eloigna faire quelques pas, elle se sentait courbaturée et avait grand soif. Il lui fallait marcher un peu. Trop de chevauchée nuisent.

Elle fit deux pas quand le garde lui posa la question

- Les deux !

Puis elle repartit.

Citation :

EH OH ! IL Y A QUELQU'UN ??? VAVAAAAAAAAAAAAAAAA ??

Enfin, mais qu’est-ce qui se passait dehors? Inquiétée par les cris d’une femme, sans doute en mauvaise posture pour s’égosiller ainsi, Sarrah s’empressa d’aller voir qui pouvait donc hurler de la sorte.
La dame qui se trouvait devant la herse fermée, toutefois, semblait en parfaite santé, si un peu malmenée par le vent, à en voir sa coiffure. Du moins, de toute évidence, ses poumons ne souffraient pas.
À moins qu’elle n’est rencontré quelque brigand sur son chemin? Elle ne semblait pourtant pas si mal.

Bonjour Dame! Je crains que le gardien de la herse ne soit en entretien avec le Seigneur.

Les traits toujours marqués par l’appréhension et l’inquiétude, elle s’informe tout de même :

Êtes-vous bien? Souffrez-vous?

Détaillant davantage la jeune femme, elle lui trouve un air vaguement familier

Doublement rassurée, la jeune servante offre un sourire à la dame, visiblement contrite. Aucun brigand, et la visiteuse ne faisait preuve que d’un peu d’enthousiasme.

Vava?

Le mot est prononcé avec hésitation presque comme s’il s’agissait d’un sacrilège, ayant une bonne idée à qui elle faisait référence. Jamais ô grand jamais elle n’oserait l’appeler ainsi! La dame était téméraire.

Vous souhaitez rencontrer le seigneur des lieux, je présume.

Vava. Elle répétait encore le mot dans sa tête, incrédule, écarquillant légèrement les yeux en s’imaginant la réaction qui suivrait si elle osait utiliser le même surnom.

Puis du coup, ça lui revient.

Oooh! Madame le maire! Oui, bien sûr, je suis persuadée que le Seigneur vous recevra... malheureusement...

Elle observa un moment la roue qui permettait de lever la herse. Jamais elle n’aurait la force... et puis, enfin... elle n’avait peut-être pas l’autorité nécessaire pour la laisser rentrer. C’était madame le maire, par contre. Sans doute on ne refusait pas l’entrée à madame le maire.

Pardonnez-moi, Dame. Je crains qu’il faille attendre le retour de Servais. Je n’arriverai jamais à vous ouvrir la herse par mes propres moyens.
Je suis certaine, toutefois, que le Seigneur n’y verra pas d’inconvénient si je vous sers quelque chose à boire en attendant.

Après coup, elle ajouta :

Je n’ai pas de cette tisane nommée en votre honneur. J’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur.

Elle attend encore de la dame qu'elle arrête son choix sur une boisson quelconque, mais celle-ci ne semble pas se décider. Peut-être l'a-t-elle offensée en ne se procurant pas d'Ealtisane. Pourtant, elle n'en a eu que de mauvaises critiques. Elle grimace légèrement.

La prochaine fois qu'elle se rend au marché, elle tâchera d'arrêter par la taverne - laquelle déjà? Hmmm, enfin, elle trouvera bien. Comme ça, si le maire prend l'habitude de visiter le seigneur, elle ne sera pas prise en défaut une autre fois.

La voix de Servais la fit sursauté.

Perdue? N-non... c'est que... enfin... Madame le m...
Le geste explicatif en direction de la jeune femme est suspendu, les mots se perdent. Bien sûr qu'il l'a repérée de lui-même, mais ce sont les paroles qui font oublier le geste. Virant au cramoisie, la jeune fille essaie à la fois d'offrir un sourire d'excuse à la mairesse et de faire comprendre à Servais, d'un regard qu'elle veut éloquent, de ne pas poursuivre dans cette voie.

Entre ses dents et sur un ton de reproche, bien que la proximité de la visiteuse empêche toute discrétion :
Monsieur Servais! C'est madame le maire!

Puis se tournant vers la dame à nouveau :
Je vous en prie, ne lui en voulez pas, il... Il... Il quoi? Manque de manières? Se fait vieux?

De la ealtisane... Quelle horreur ! Encore heureux qu'il n'y en a pas ici. Mine un peu grimaçante à cette idée.
Après intense réflexion, la jeune femme alla répondre quand un homme arriva.
Toujours tournée vers la jeune servante, Eal lui adressa un grand sourire, inquiétant quand même.

Encore heureux que vous n'avez pas cette horreur ici ! Vava en aurait sûrement une attaque et moi aussi par la même occasion.

Se tournant vers l'homme.

Je ne cherche pas de travail, j'en ai déjà bien assez en venant enquiquiner Vava de temps à autre.

De nouveau à la servante.

Ne vous en faites pas, au moins, les choses sont dites franchement. Petit rire cristallin et joyeux. Mais il se fait soif et de l'eau fraîche ne serait pas de refus. Ses yeux pétillaient de malice, au moins elle n'était pas venue pour rien même si on lui demandait de revenir un autre jour.